Il est parfois difficile de trouver les mots … Pourtant, à chaque instant vécu, sa citation!
C’est vrai, qui n’a jamais pensé : “si j’avais les mots pour le dire” ou bien “j’ai le mot sur le bout de la langue”.
Quand on veut exprimer un ressenti profond, quelque chose qui nous tient à cœur, une émotion vive, il n’est pas évident de trouver les mots justes!
Certaines personnes ont ces mots, ont su les écrire et nous les transmettre à travers un livre, une chanson, une citation …
Nous, nous allons essayer d’associer quelques références à chacun de nos articles … ce n’est pas une mince affaire, mais nous relevons le défi!
“Ni rire, ni pleurer mais comprendre“, Spinoza
“Tout le bonheur du monde est dans l’inattendu”, Jean d’Ormesson
” Il n’avait pas un sou en poche mais il avait foi en la vie. Il existe un langage qui va au-delà des mots. Son cœur et lui devinrent de grands amis, incapables désormais de se trahir l’un l’autre”.
L’alchimiste, Paulo Coelho
Laurent Gounelle a écrit “On ne dépasse jamais les limites qu’on se donne”.
Article : 49 jours dans l’Uttarakhand, le nord de l’Inde
Tu m’as fait connaître à des amis que je ne connaissais pas,
Tu m’as fait asseoir à des foyers qui n’étaient pas le mien,
Celui qui était loin, tu l’as rendu tout proche et tu as fait de l’étranger un frère,
Pour celui qui te connaît, nul n’est plus étrange ou hostile qu’une porte fermée,
Oh ! Accorde-moi cette grâce : permets que je ne perde jamais le bonheur de la rencontre de l’Unique parmi le jeu de la diversité.
Rabindranath Tagore
Bouddha a dit “On peut allumer des dizaines de bougies à partir d’une seule sans en abréger la vie. On ne diminue pas le bonheur en le partageant“.
« La valeur des choses n’est pas dans la durée mais dans l’intensité où elles arrivent. C’est pour cela qu’il existe des moments inoubliables, des choses inexplicables et des personnes incomparables », Fernando Passoa, Le livre de l’intranquillité
« Ce matin, j’ai ouvert deux cadeaux inestimables, c’était mes yeux ».
Article : La face cachée de l’île Maurice
Bernardin de Saint-Pierre faisait part dans ses Réflexions sur l’esclavage : « Je ne sais pas si le café et le sucre sont nécessaires au bonheur de l’Europe, mais je sais bien que ces deux végétaux ont fait le malheur de deux parties du monde. On a dépeuplé l’Amérique afin d’avoir une terre pour les planter : on dépeuple l’Afrique afin d’avoir une nation pour les cultiver ».
Article : Les Massaï, une tribu délaissée et malmenée
Jean Giono, L’homme qui plantait des arbres
« Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable ».
« Sous le capitalisme, l’homme est dirigé par un ordre rigide qui échappe habituellement au domaine de sa compréhension. Aliéné, l’individu est lié à la société dans son ensemble par un invisible cordon ombilical : la loi de la valeur. Celle-ci agit sur tous les aspects de sa vie, modelant son cours et son destin », Che Guevara.
“Etre heureux, c’est apprendre à choisir. Non seulement les plaisirs appropriés, mais aussi sa voie, son métier, sa manière de vivre et d’aimer. Choisir ses loisirs, ses amis, les valeurs sur lesquelles fonder sa vie. Bien vivre, c’est apprendre à ne pas répondre à toutes les sollicitations, à hiérarchiser ses priorités. L’exercice de la raison permet une remise en cohérence de notre vie en fonction des valeurs ou des buts que nous poursuivons. Nous choisissons de satisfaire tel plaisir ou de renoncer à tel autre parce que nous donnons un sens à notre vie – et, aux deux acceptions du terme : nous lui donnons à la fois une direction et une signification“, Sénèque.
Article : Un retour déchirant
Comment décrire notre retour d’Inde ? Ce sentiment étrange et étouffant éprouvé lors de notre retour déchirant d’Inde, comme si nous laissions une partie de nous là-bas ne s’explique pas… Nous nous sommes senties en décalage avec notre propre pays en revenant, remettant en cause certaines de nos idées… D’ailleurs, les paroles de Renaud correspondent assez à notre ressenti :
“Fatigué d’habiter sur la planète terre,
Sur ce grain de poussière, sur ce caillou minable,
Sur cette fausse étoile perdue dans lunivers,
Berceau de la bêtise et royaume du mal,
Où la plus évoluée parmi les créatures,
A inventé la haine, le racisme et la guerre,
Et le pouvoir maudit qui corrompt les plus purs,
Et amène le sage à cracher sur son frère…”
Article : Bodhgaya et l’illumination de Bouddha
Lors de notre séjour à Bodhgaya, nous en avons appris un peu plus sur l’illumination de Bouddha.
“Les mots ont le pouvoir de détruire ou de soigner; lorsqu’ils sont justes et généreux, ils peuvent changer le monde” est une phrase qu’il a prononcée, qui a suscité en nous un certain intérêt et nous a fait prendre conscience de l’importance et de l’influence sur le monde que chaque personne, sur terre, pourrait avoir…
Article : Un mariage indien à Kolkata
Un proverbe hindou dit que “Celui qui n’a qu’une maison n’en a qu’une. Celui qui n’en a aucune en a mille”. C’est le sentiment que nous avons eu en Inde : faire partie d’une famille. Nous l’avons ressenti à plusieurs reprises et, entre autres, lors de notre invitation à un mariage indien à Kolkata.
Article : Varanasi et l’appel du Gange
Le proverbe hindou qui dit que “la mort est l’ombre de la vie” est connu de tous. Il prend réellement un sens particulier ici, à Varanasi.
Bouddha a prôné que :
“L’amour au passé n’est que souvenirs,
L’amour au futur n’est qu’imagination,
C’est seulement ici et maintenant que nous pouvons aimer”
L’appel du Gange à Varanasi ou encore “l’appel de la mort” nous a permis d’ouvrir les yeux sur la vie… !
Article : Ranakpur et la jaïnisme
Sartre disait “Etre aimé, c’est se sentir justifié d’exister“. Le monde et toutes ses particules sont tellement respectés par les Jaïns qu’on a l’impression qu’autour d’eux, tout est “la vie”. Si tu as envie d’en savoir plus sur cette religion, je t’invite à lire notre article.
Aldous Huxley a dit que “Voyager, c’est se rendre compte que tout le monde a tort à propos des autres pays”… Comment cela se fait-il que nous ayons trouvé des personnes si généreuses qui nous ont donné l’impression de faire partie de leur famille, d’être chez nous chez eux ? Mettez vos a priori de côté à propos de l’Inde et venez découvrir cet état merveilleux du Rajasthan.
Article : Pourquoi faut-il attendre avant d’aller en Inde ?
George Orwell a écrit “Mais si le but poursuivi était, non de rester vivant, mais de rester humain ?”. Si tu veux prendre conscience de toi-même, des autres et du monde qui t’entoure, es-tu prêt à aller en Inde ? En tout cas, nous, plus humaniste que l’Inde, nous n’avons pas encore trouvé.
Guy de Maupassant écrivait que “Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve”. Ça, oui, nous avons rêvé de la Slovénie et en avons été subjugué!
Article : Hongrie & Couchsurfing
Zaz chantait “On ira gratter le ciel en dessous de Kyoto, on ira sentir Rio battre au cœur de Janeiro, on lèvera nos yeux sur le plafond de la chapelle Sixtine, et on lèvera nos verres dans le café Pouchkine”. On a commencé déjà par Budapest en se disant “on verra ensuite où on ira” 🙂
“Venus de tous les continents, croyants et non-croyants, nous appartenons tous à la même planète, à la communauté des hommes. Nous devons être vigilants et la défendre non seulement contre les forces de la nature qui la menacent, mais encore davantage contre la folie des hommes” dixit Simone Veil. Que dire de plus … ? C’est bien à nous de prendre soin de cette belle planète qui nous accueille!… et des hommes qui la peuplent!
Pep’s chantait un refrain dans lequel nous nous reconnaissons “I just wanna be free in this way, Just wanna be free in my world, Vivere per libertà, Vivere nella liberta”. Lisez la description de Sarah & Ségo pour en savoir plus sur nous 😉
Laurent Gounelle a écrit “Il va falloir que tu acceptes de ne pas forcement correspondre à ce qu’attendent les gens, ne pas toujours te conformer à leurs critères, leurs valeurs, mais oser afficher ta différence, parfois même quand elle dérange. Bref, lâcher prise sur l’image que tu souhaites donner aux autres et apprendre à ne pas trop te soucier de ce qu’ils pensent de toi.” Mais qui peut mieux nous décrire que notre entourage? Vous en saurez d’avantage en allant voir sur “Qui sommes nous?”